Reporting intégré – Corporate Reporting Dialogue

Corporate Reporting Dialogue releases a Statement of Common Principles of Materiality

“The corporate reporting landscape is changing. For too long, reporting has been fragmented and disconnected from the strategic drivers of value. The Corporate Reporting Dialogue represents the coming together of organizations that have the combined power to shape the future corporate reporting landscape, creating a cohesive, meaningful and durable roadmap that builds business and investor confidence. It is a collaboration that will promote greater cohesion and efficiency, rebalancing reporting in favour of the reader, helping to re-establish the connection between a business and its principal stakeholders.”

Huguette Labelle
CHAIR, CORPORATE REPORTING DIALOGUE
Chair, Transparency International

http://corporatereportingdialogue.com

L’économie numérique

Les entreprises investissent peu dans les compétences numériques de leurs employés (France Steategie) 

Comment concilier, à terme, la construction d’un écosystème favorable au développement de l’économie numérique et la garantie des principes qui fondent la société française ?

En moins de dix ans, le numérique a révolutionné notre accès à l’information, transformé notre vie quotidienne et bousculé les positions acquises dans plusieurs secteurs économiques comme le transport et le tourisme.
Qu’en sera-t-il dans la décennie 2017-2027 ? Le mouvement de transformation va se poursuivre et atteindre une part croissante de la production des biens et de services, y compris les services publics, en exerçant son potentiel de simplification, d’optimisation et de transformation des organisations.
L’enjeu est considérable pour la société et l’économie françaises. Pour tirer tout le parti de la révolution numérique, pour en être les acteurs plutôt que de la subir, il ne faut pas l’attendre, il faut la provoquer.
http://francestrategie1727.fr/thematiques/tirer-parti-de-la-revolution-numerique/

Délais de paiement

Délais de paiement : un coûteux serpent de mer(Institut Montaigne)

Selon la dernière édition du rapport annuel de l’Observatoire des délais de paiement, publiée le 7 mars 2016, 32 % des entreprises françaises ne respectent pas les délais légaux de paiement. En conséquence, près de 16 milliards d’euros font défaut à la trésorerie des PME et 4 milliards à celle des ETI.

Ces chiffres confirment les résultats alarmants de l’étude publiée par Data Altares au mois de décembre 2015. La France est en effet l’un des champions européens des retards de paiement, avec une moyenne de 13,2 jours (14,7 jours chez les ETI et les grandes entreprises, 16,6 jours dans l’administration de l’État et 19 jours dans les grandes collectivités locales).

Outre les nombreuses faillites qui leur sont imputables, ces retards de paiement entravent considérablement l’activité des PME et contracte leur capacité d’investissement. La réduction des retards de paiement est donc l’un des enjeux clefs pour renforcer la trésorerie des PME, afin qu’elles se consolident et qu’elles se développent.

Délais de paiement : un coûteux serpent de mer – Des idées pour demain http://www.desideespourdemain.fr/index.php/post/2016/03/22/D%C3%A9lais-de-paiement-:-un-co%C3%BBteux-serpent-de-mer#.Vveka9v4irN.twitter

Devoir de vigilance – 3 –

DEVOIR DE VIGILANCE : LES DÉPUTÉS ADOPTENT LA PROPOSITION DE LOI EN 2ÈME LECTURE
À 32 voix pour et 1 contre, les députés ont adopté en deuxième lecture la proposition de loi sur le devoir de vigilance des entreprises donneuses d’ordre. Un texte très critiqué par la droite et le patronat. Mais salué par les ONG.

Les députés ont adopté mercredi 23 mars la proposition de loi sur le devoir de vigilance des entreprises donneuses d’ordre vis-à-vis de leurs filiales et sous-traitants, par 32 voix contre une.

Le texte demande notamment aux entreprises donneuses d’ordre françaises (de plus de 5 000 salariés en France et 10 000 avec leurs filiales à l’étranger) de mettre en place un plan de vigilance afin d’identifier, de prévenir et d’atténuer les risques et les atteintes aux droits de l’homme dans leur chaîne d’approvisionnement. En cas de manquement à cette obligation et de “dommage qu’elles auraient raisonnablement pu éviter”, la responsabilité civile de l’entreprise serait engagée et les sanctions financières pourraient aller jusqu’à 10 millions d’euros.

http://www.novethic.fr/index.php?id=299&tx_ausynovethicarticles_articles%5Barticle%5D=143866&L=0

Devoir de vigilance – 2 –

DEVOIR DE VIGILANCE : “LE MOUVEMENT EST ENCLENCHÉ, IL N’Y PAS DE RECUL POSSIBLE”
Les députés ont adopté en deuxième lecture la proposition de loi sur le devoir de vigilance. Celle-ci est destinée à contraindre les entreprises donneuses d’ordre françaises de plus de 5 000 salariés d’adopter des plans de vigilance pour s’assurer du respect des droits humains et environnementaux dans leur chaîne d’approvisionnement. ACTE International, une entreprise spécialisée dans les chaînes d’approvisionnement responsables, accompagne depuis 20 ans de nombreuses sociétés dans le déploiement de leur politique RSE à l’international. Elle mène 250 jours d’audit par an. Sylvie Thonnerieux, responsable du service social, éthique et environnement, dresse une analyse de terrain.
Pour contrôler l’application des mesures de prévention contre les risques de violation des droits humains et environnementaux, les entreprises mènent des audits sociaux dans leurs filiales ou chez leurs sous-traitants, comme ici dans une usine de textile.
Courtesy of ACTE International

http://www.novethic.fr/index.php?id=299&tx_ausynovethicarticles_articles[article]=143867&L=0

Travailleurs détachés

MORT ANNONCÉE DU « DUMPING » SOCIAL EN EUROPE
« La concurrence qui stimule, la coopération qui renforce, la solidarité qui unit. » Jacques Delors

En annonçant que le salaire des travailleurs détachés sera désormais le même que celui des « nationaux », la Commission européenne prétend tuer le « dumping » social. En pratique, c’est un peu plus compliqué.
http://www.latribune.fr/edition-quotidienne/18-03-2016/focus/mort-annoncee-du-dumping-social-en-europe-3177.html#xtor=EPR-2-%5BLe+Quotidien%5D-20160318

Indicateurs de bonheur

Alors, heureux, vraiment ?

La 4e édition du rapport mondial sur le bonheur réinstalle le Danemark au top des 156 pays sondés. Loin devant la France, désormais 32e.«Prenez un moment et imaginez une échelle de 1 à 10. Le haut incarnant le meilleur pour vous. A quel niveau vous sentiriez-vous ?» C’est autour de cette question, très subjective, appelée l’échelle de Cantril, théorisée en 1965, que l’institut Gallup tente de mesurer depuis 2012 l’indice de satisfaction dans le monde chaque année et que détaille et interprète les très sérieux Earth Institute de l’université de Columbia, aux Etats-Unis et le Réseau des solutions pour le développement durable des Nations unies.

Publié ce mercredi, The World Happiness Report 2016, le 4e du genre, a posé la question à environ 3 000 personnes – par téléphone, ou via des rencontres physiques – dans chacun des 156 pays qu’il sonde dans le monde.

http://www.earthinstitute.columbia.edu/sections/view/9

http://worldhappiness.report

Libération.fr
http://www.liberation.fr/planete/2016/03/17/alors-heureux-vraiment_1440028

ODD objectifs de Développement Durable

John  Ruggie appelle les entreprises à ne pas substituer leurs actions à leurs devoirs sur les droits de l’homme

Les actions de développement ne doivent pas se substituer aux mesures à prendre pour remédier aux impacts négatifs de leurs opérations et de leurs relations commerciales sur les droits de l’homme”, écrit John Ruggie, président de Shift, un think tank dédié aux entreprises et aux droits de l’homme, et ancien représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour les droits de l’homme et les entreprises, dans une lettre datée du 16 février 2016. Elle est adressée à la Global commission on business and sustainable development, nouvelle commission lancée lors du Forum économique de Davos le 21 janvier 2016 (lire

http://www.businesscommission.org

http://shiftproject.org/sites/default/files/RuggieLetterSDGCommissionFeb2016.pdf