Crise climatique et de la biodiversité : 50 spécialistes mondiaux appellent à une lutte commune

 

#GIEC et #IPBES #débatcommun

Comment le #dérèglement #climatique aggrave-t-il l’#érosion de la #biodiversité, et comment la #destruction du #vivant accélère-t-elle le #réchauffement ? Quelles #solutions pourraient permettre de répondre simultanément à ces deux #défis majeurs ? Des compromis sont-ils parfois nécessaires ? Pour la 1ère fois, 50 des plus grands spécialistes mondiaux de la biodiversité et du climat publient, jeudi un rapport commun sur le sujet. Ils y affirment l’impérieuse nécessité d’aborder conjointement ces #crises pour espérer les résoudre.

« Le changement climatique menace de plus en plus la nature et les services qu’elle rend aux populations, a expliqué le climatologue Hans-Otto Pörtner, coprésident du comité de pilotage scientifique du rapport. Plus le monde se réchauffe, moins il y a de #nourriture ou d’#eaupotable dans de nombreuses régions. Les changements de biodiversité, à leur tour, affectent le climat, en particulier par le biais d’#impacts  sur les #cycles du #carbone et de l’eau. Un avenir mondial #durable  est encore réalisable, mais il nécessite un changement radical. »

Ce rapport est le fruit d’un atelier virtuel #GIEC et #IPBES. 1ere  collaboration entre ces 2 organismes qui évaluent l’état des connaissances #scientifiques sur ces 2 thématiques.

https://www.lemonde.fr/climat/article/2021/06/10/crise-climatique-et-de-la-biodiversite-50-specialistes-mondiaux-appellent-a-une-lutte-commune_6083616_1652612.html

« Le “biodiversité-scepticisme”, plus discret que celui contre le dérèglement climatique, est en un sens bien plus inquiétant »

 

« Le “biodiversité-scepticisme”, plus discret que celui contre le dérèglement climatique, est en un sens bien plus inquiétant »

La relativisation et le déni de l’effondrement de la biodiversité se construisent aujourd’hui dans les revues scientifiques les plus cotées, observe avec inquiétude Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.

Souvenez-vous, c’était il y a dix ans. Aussitôt publié, chaque article de presse, chaque reportage, chaque entretien détaillant les effets en cours et à venir du changement climatique était relativisé, attaqué, suspecté d’alarmisme, de militantisme, etc. Chacun se positionnait de part et d’autre de ce qui semblait une authentique controverse savante. En réalité, de réelle dispute scientifique, il n’a jamais existé : ce n’est qu’en faisant le siège des plateaux de télévision, des rayonnages des librairies et des couvertures des hebdomadaires, qu’une dizaine de bateleurs sont parvenus, en France, à implanter le climatoscepticisme dans l’opinion.

Un nouveau « scepticisme » voit le jour. Il s’attaque à l’autre grande crise environnementale, celle de la biodiversité ; il est sans doute déjà à l’œuvre dans le choix du gouvernement de réduire fortement son soutien à l’agriculture biologique. Plus discret que son jumeau climatique, ce « biodiversité-scepticisme » est en un sens bien plus inquiétant. Car il s’enracine dans la littérature savante elle-même. Ce n’est pas dans les talk-shows des chaînes d’information en continu qu’il se construit, mais dans les revues scientifiques les plus cotées.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/24/le-biodiversite-scepticisme-plus-discret-que-celui-contre-le-dereglement-climatique-est-en-un-sens-bien-plus-inquietant_6081238_3232.html

Rapport mondial 2021 de l’ONU sur la mise en valeur des ressources en eau

Pour la #journéemondialedeleau, #valeur(s) ? de l’#eau l’ONU s’est lancée dans un calcul impossible : mesurer sa véritable valeur pour l’#humanité. Sous-estimer cette valeur en se contentant de l’aspect économique conduit à des #gaspillages et des #mauvais #usages.

Quelle est la valeur de l’eau sur #Terre ? Le rapport mondial des Nations unies sur la mise en valeur des ressources en eau publié lundi 22 mars tente de nous faire comprendre l’inestimable valeur de l’#orbleu. La quantité d’eau est la même sur Terre depuis trois milliards d’années. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle “la planète bleue”. Mais 97% de ces quantités d’eau sont dans les #mers et les #océans, donc trop salée pour répondre à nos besoins comme boire, se laver, produire des biens ou irriguer nos champs. Sauf pour une dizaine de pays qui ont les moyens de dessaler de l’eau de mer.

Pour les autres, il faut donc compter sur les 3% restants (et encore, les deux tiers sont prisonniers dans nos calottes glaciaires). Notre or bleu correspond donc ce que l’on prélève dans nos nappes phréatiques, nos rivières et nos lacs. Mais aujourd’hui, les quantités ne se renouvellent pas aussi vite, avec le cycle naturel des pluies, que ce que l’on prélève, alors que d’immenses services sont en jeu.

#odd 6 #unesco

http://www.unesco.org/reports/wwdr/2021/fr

 

PLANETHON365.org

#mondedaujoudhui #mondedaprès 

#ChaqueJourCompte Des #SOLUTIONS pour la planète.

L’association PLANETHON365, que je préside, souhaite soutenir et accompagner des #projets pour un #monde #solidaire et #écologique.

Un collectif a créé PLANETHON365 afin de mettre en avant des engagements de citoyens et citoyennes pour #préserver nos #ressources et #construire #ensemble l’avenir que nous voulons.

Associations et fondations, vous connaissez des solutions durables ? vous avez des projets ?

Contactez PLANETHON365 car #chaquejourcompte

contact@planethon365.org

https://lnkd.in/dDP5HHc

Ghislaine Hierso Yves Chevalier william perkins David REMONDEAU LE DOUARIN PIERRE Romain GIRARD-HAUTBOUT David Gruson

https://www.planethon365.org/

IPBES WORKSHOP ON BIODIVERSITY AND PANDEMICS

 

#Covid19 #MondedAujourdhui#MondedAprès

#ProtégeonsLesRessources. #PréservonslaBiodiversité

L’ #IPBES – plateforme scientifique internationale pour la Biodiversité, publie un rapport sur la #pandémie. Le rapport met en exergue  les liens entre les maladies émergentes et la dégradation de l’environnement ; usage des sols , pratiques agricoles, commerce d’animaux sauvages…

Le rapport insiste sur la nécessaire approche “One Health”, qui demande à prendre en compte, de manière intégrée, la #santéhumaine, #animale et plus largement de la #biodiversité.

Passer d’une gestion de crise à une approche #préventive, pour réduire les #risques  d’émergence de pandémies notamment en réduisant notre empreinte sur la biodiversité. Cette prévention serait de plus économiquement rentable précise le rapport.

Chacun, chacune, collectivité, entreprise, état doit repenser les relations entre les activités humaines et la nature.

Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) Les Petits Débrouillards 4D – Dossiers et Débats pour le Développement Durable

Humanité et Biodiversité

https://ipbes.net/pandemics

Sites et sols pollués : la Commission d’enquête sénatoriale a rendu son rapport

PatrimoineSols #TerreNourricière #ProtégeonsNosSols Ce jeudi 10 09, la Commission d’enquête du #Sénat sur les sols pollués a rendu son rapport. Il préconise notamment la création de centres régionaux de santé environnementale et d’un fonds national de réhabilitation des sites et sols pollués.

« À la différence de l’#air ou de l’#eau, des #biensnaturelscommuns dont la protection a donné lieu à un arsenal juridique très sophistiqué, les #sols sont restés le parent pauvre de la législation aux niveaux européen et national », rappelle Laurent Lafon

Le rapport stipule , « la pollution des sols ne peut pas être réduite à des problèmes territoriaux circonscrits, elle exige une mobilisation nationale pour deux raisons majeures : d’une part, l’#informationdupublic sur l’existence des #pollutionsdessols et sur leurs effets sur la #santé et l’#environnement doit devenir un #droitfondamental..  d’autre part, les #collectivitéslocales doivent être + intégrées la décision et la gestion des territoires pollués…. souligne @Gisèle Jourda

Mettre le code minier en harmonie avec le code de l’environnement, Il est question de relancer le processus d’élaboration d’une #directiveeuropéenne sur la protection des sols, et de « clarifier les notions d’usage, de remise en état et de réhabilitation »

http://www.senat.fr/commission/enquete/pollution_des_sols.html

Deux rapports viennent d’être publiés sur l’érosion de la biodiversité, l’un par le WWF, l’autre par le CAE : deux approches différentes, mais complémentaires.

Deux rapports viennent d’être publiés sur l’érosion #environnement #humain #forêt de la #biodiversité, l’un par le #WWF, l’autre par le #CAE : deux approches différentes, mais complémentaires.

Régulièrement et ce depuis plus de 10 ans des rapports aussi alarmants sont publiés tant par les organisations internationales (#Ipbes, #Giec) à l’occasion des #COP (#biodiversité #Climat et #désertification) , l’#Uicn (qui se réunira en janvier à Marseille), les associations internationales (#Wwf) que nationales (#HumanitéetBiodiversité, #Fne) et cf aussi le rapport de la Plateforme RSE publié fin 2019 sur empreinte Biodiversité des entreprises. Mais malheureusement peu d’actions effectives  pour ralentir ces dégradations et destructions.

En 2010, c’était l’année internationale de la Biodiversité et un rapport français  sur l’approche économique de la biodiversité et des services liés aux écosystèmes – Contribution à la décision publique a été publié (présidé par @bernard Chevassus au Louis)et la COP 10 Biodiversité qui se déroulait à Nagoya dressait déjà un bilan catastrophique et publiait les objectifs d’Aichi afin de  réduire les impacts.

En 2020, des actions et des dispositifs essentiels sont attendus pour préserver la Biodiversité et les Écosystèmes.

https://www.franceculture.fr/emissions/la-transition/la-transition-chronique-du-vendredi-11-septembre-2020

GRAND ENTRETIEN. Valérie Masson-Delmotte, climatologue, dessine l’après-coronavirus : “Il va falloir du courage politique pour éviter les vieilles ficelles”

Covid 19

Avant Pendant Après

Cela fait partie des points d’intersection qui interrogent sur notre #modededéveloppement, qui pousse à exercer une #pression croissante de destruction d’#écosystèmes, pas uniquement chez nous mais aussi à distance, via les importations.

#ValérieMassonDelmotte

à #Franceinfo

Par ailleurs, le rapport rendu sur l’#océan et les glaces dans un climat qui change mentionnait certains aspects liés à la santé, par rapport aux zones côtières, notamment la sécurité de l’approvisionnement en eau. Enfin, le rapport spécial rendu en 2019 sur le #changementclimatique et l’utilisation des #terres soulignait que la pression que nous exerçons sur la #destruction des #écosystèmes était à l’origine d’épisodes de #zoonoses – des maladies présentes dans des animaux – de plus en plus fréquemment transférées aux sociétés humaines.

… Cela a d’ailleurs conduit une partie de la communauté scientifique, à l’interface #santéenvironnement, à explorer de nouvelles approches. Par exemple, la notion de #santéplanétaire, sur le fait que la #santéhumaine va aussi dépendre de la santé des écosystèmes et de l’état du climat, ou bien l’angle  #onehealth , qui fait le lien entre la santé humaine et la santé animale, y compris des animaux d’élevage, et la santé des écosystèmes.

Valérie Masson-Delmotte

#Biodiversité

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/grand-entretien-valerie-masson-delmotte-climatologue-dessine-l-apres-coronavirus-il-va-falloir-du-courage-politique-pour-eviter-les-vieilles-ficelles_3917315.html

 

Envoyé de mon iPhone

The #UnitedNationsGlobalCompact highlights the direct links between #biodiversity, #climate and #sanitarycrisis

https://www.unglobalcompact.org/take-action/20th-anniversary-campaign/uniting-business-to-tackle-covid-19

such as #covid19. We have here some of our key drivers for the recovery

A coordinated international plan involving the business sector will be critical in efforts to support people and companies affected, limit further disruption to the economy and facilitate business continuity for a swift recovery.

Global Compact France 

United Nations Global Compact

https://lnkd.in/dXKp_eJ

Moins d’#espèces animales, plus de #maladies infectieuses

 

Moins d’#espèces animales, plus de #maladies infectieuses

Ainsi, la destruction de #forêts vierges, le minage, la construction de routes et l’urbanisation sont autant de facteurs qui contribuent à la prolifération de ces nouvelles maladies. « À cause de changements environnementaux, certains animaux perdent leur habitat naturel. Donc, des espèces se retrouvent à cohabiter ensemble et sont de plus en plus en contact avec l’#Homme », explique le professeur Thomas Gillepsie dont les travaux portent sur les liens entre la réduction des #habitatsnaturels et l’émergence de maladie transmises à l’Homme par les animaux.

#biodiversité #nature #environnement #changementclimatique #protection  #préservation  #santé

#ThomasGullepsis #KateJones

Humanité et Biodiversité

Les Petits Débrouillards

4D – Dossiers et Débats pour le Développement Durable

https://www.ladn.eu/nouveaux-usages/usages-et-style-de-vie/liens-destruction-environnement-pandemie/amp/